29 mai 2008
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Prunelles d'or, lueur de vie
Dans l'obscurité d'un pelage soyeux,
On dirait que tu souris
Même lorsque tu fermes les yeux.
J'admire la souplesse de ton corps,
La silencieuse élasticité de ta démarche,
Tes mouvements, tantôt charmants, tantôt retors,
Et ta patte qui, tour à tour, caresse et arrache.
J'envie ton indépendance toute féline,
Tes allures de déesse distante
Enfermée dans une silhouette si fine
Mais si forte et si attirante.
J'aime surtout t'entendre ronronner
Quand je caresse ton pelage soyeux,
Transpercé, la nuit, par deux prunelles dorées,
Féline mutine, douce déesse, coin de ciel bleu...
(Extrait de mon recueil "Humeurs Vagabondes", © 2002)
Dans l'obscurité d'un pelage soyeux,
On dirait que tu souris
Même lorsque tu fermes les yeux.
J'admire la souplesse de ton corps,
La silencieuse élasticité de ta démarche,
Tes mouvements, tantôt charmants, tantôt retors,
Et ta patte qui, tour à tour, caresse et arrache.
J'envie ton indépendance toute féline,
Tes allures de déesse distante
Enfermée dans une silhouette si fine
Mais si forte et si attirante.
J'aime surtout t'entendre ronronner
Quand je caresse ton pelage soyeux,
Transpercé, la nuit, par deux prunelles dorées,
Féline mutine, douce déesse, coin de ciel bleu...
(Extrait de mon recueil "Humeurs Vagabondes", © 2002)