17 mai 2008
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La vie s'échappait par tous ses pores dilatés
Mais dans un dernier moment de lucidité
Il s'approcha enfin de la Dame qu'il aimait
Et leurs souffles se mêlèrent, purs. Il se mourait.
Et lorsqu'il ne fut plus, on put dire de lui
Qu'il avait repoussé les ténèbres et la nuit
Lorsqu'un baiser ardent et passionné l'unit
A la femme qu'il avait aimée toute sa vie.
Cette femme qui jamais n'avait été sienne
Et à qui jamais il n'avait confié sa peine
Comprit, mais trop tard, qu'elle avait été sa muse
Et, de désespoir, se changea en méduse.
Oh, Lune, éclaire le chemin de mes pensées.
Fasse que jamais je ne puisse rencontrer
Un bel homme qui soit assez sot pour m'aimer
Et mourir avant que de l'avoir avoué.
(j'ai écrit ce texte après avoir vu le film "Le Chevalier de Brantôme").
Mais dans un dernier moment de lucidité
Il s'approcha enfin de la Dame qu'il aimait
Et leurs souffles se mêlèrent, purs. Il se mourait.
Et lorsqu'il ne fut plus, on put dire de lui
Qu'il avait repoussé les ténèbres et la nuit
Lorsqu'un baiser ardent et passionné l'unit
A la femme qu'il avait aimée toute sa vie.
Cette femme qui jamais n'avait été sienne
Et à qui jamais il n'avait confié sa peine
Comprit, mais trop tard, qu'elle avait été sa muse
Et, de désespoir, se changea en méduse.
Oh, Lune, éclaire le chemin de mes pensées.
Fasse que jamais je ne puisse rencontrer
Un bel homme qui soit assez sot pour m'aimer
Et mourir avant que de l'avoir avoué.
(j'ai écrit ce texte après avoir vu le film "Le Chevalier de Brantôme").