2 juin 2008
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Je suis la pluie qui gifle ton carreau
Je suis le vent qui hurle à ta porte
Je suis le fardeau qui te brise le dos
Je suis toute la douleur que la vie t'apporte.
Je suis le gel qui brûle tes fleurs
Je suis la neige qui cache ton chemin
Je suis la solitude qui glace ton coeur
Je suis toute la douleur qui te tient la main.
Je suis le tonnerre qui brise ton sommeil
Je suis l'éclair qui zèbre tes yeux
Je suis un mystère sans pareil
Je suis toute la douleur qui tombe des cieux.
N'as-tu pas, enfin, compris qui je suis ?
Je vais te le dire, ce que je suis :
Je suis la grande dévoreuse de corps,
Je suis la lente, l'ignoble mort.
(Extrait de mon recueil "Humeurs Vagabondes", publié en 2002)
Je suis le vent qui hurle à ta porte
Je suis le fardeau qui te brise le dos
Je suis toute la douleur que la vie t'apporte.
Je suis le gel qui brûle tes fleurs
Je suis la neige qui cache ton chemin
Je suis la solitude qui glace ton coeur
Je suis toute la douleur qui te tient la main.
Je suis le tonnerre qui brise ton sommeil
Je suis l'éclair qui zèbre tes yeux
Je suis un mystère sans pareil
Je suis toute la douleur qui tombe des cieux.
N'as-tu pas, enfin, compris qui je suis ?
Je vais te le dire, ce que je suis :
Je suis la grande dévoreuse de corps,
Je suis la lente, l'ignoble mort.
(Extrait de mon recueil "Humeurs Vagabondes", publié en 2002)