Que se passe-t-il, la nuit, une fois les lumières éteintes, sous les couvertures ? Vous aimeriez bien le savoir, n'est-ce pas ? Eh bien vous avez de la chance : Bertrand Guillot le sait, et nous le raconte.

Chaque soir, quand le libraire éteint les lumières et ferme la boutique, les livres sortent de leur silence diurne, se parlent, font des joutes oratoires ; des amitiés se nouent, des disputes éclatent. Mais il faut se serrer les coudes, euh, pardon, les couvertures, pour tous les livres qui n'ont pas été vendus dans la semaine et qui vont repartir le lundi pour le pilon.

Alors, discussion, mot d'ordre, mise en place d'une stratégie de groupe pour aller prendre les bonnes places et être vendus à la place des best-sellers. Il faut faire la révolution dans la librairie, et comme dans toute révolution, il y aura des soldats fidèles et des traîtres, il y aura des pertes....

Et pendant ce temps, en-dehors de la librairie, nous rencontrons aussi le libraire et son assistante, leurs problèmes personnels.

Nous rencontrons les auteurs, et l'on ne peut s'empêcher de s'attacher à eux, de noter des points communs entre leur caractère et le destin, le caractère de leur ouvrage. Les auteurs ne sont pas nommés et pourtant, il nous semble en reconnaître quelques-uns au travers des courtes descriptions qui en sont faites.

C'est une belle aventure que celle de ces livres, on la lit avec plaisir, on a du mal à reposer l'ouvrage. Il y a une belle galerie de "personnages" (tant les humains que les livres), le style est agréable, ni trop simpliste ni ampoulé. Il y a quelques jolies formules, des expressions toutes faites remaniées pour leur donner une nouvelle vie, une nouvelle force.

Au final, un roman qui fait du bien, qui change de tous ceux qu'on connaît et qu'on est content d'avoir découvert.

Cette année encore, j'ai postulé pour participer aux Matchs de la rentrée littéraire Price Minister Rakuten. J'ai choisi le livre "Sous les couvertures" de Bertrand Guillot, dont le thème me semblait plein d'originalité et de fantaisie, et j'ai eu la chance d'être sélectionnée. Il y a eu un peu de retard dans l'expédition des livres, mais ça y est, je l'ai reçu samedi.

J'étais heureuse comme une gamine avec son cadeau de Noël... voici mes photos du livre, en attendant que je le lise et que j'en fasse ma synthèse (j'ai un autre livre à finir d'abord).

Mon amie macrameuse Natur'aile a inventé la "tresse Maïta", un nouveau bijou de cheveux, en macramé avec inclusion de perles, à tresser dans les cheveux (et elle a déposé le brevet).

J'ai craqué devant ses différentes tresses et je lui ai passé une commande personnalisée : un petit modèle en bleu turquoise et bleu moyen, avec un piège à rêves au bout.

Elle est arrivée aujourd'hui, pendant que j'étais en cours.... donc je l'ai essayée dès ce soir !

Regardez la finesse du piège à rêves, les petites perles, les belles couleurs ! je suis ravie, Natur'aile a vraiment su réaliser l'objet dont j'avais rêvé... J'ai bien suivi son tuto en vidéo et j'ai réussi à mettre et nouer le bijou toute seule, dès le 1er essai.

Et voici donc la natte portée :

Si vous êtes intéressée par les créations de Natur'aile, vous pouvez les voir sur tous les sites suivants :

Cette année encore, je participais au défi de Pipiou : créer une tenue pour le défilé virtuel de poupées (mannequin ou autres). Le thème, cette fois-ci, était : le festival de Cannes...

Très motivée au début, j'ai eu une grosse panne d'inspiration une fois la jupe terminée, et avec la reprise du travail, j'ai pris du retard, ce qui fait que j'ai rendu ma "copie" à Pipiou seulement hier (au lieu du 15 octobre)

Je me suis inspirée de la robe portée par Elsa Zylberstein :

J'ai gardé la jupe avec un drapé asymétrique et fendue très haut, ainsi que les "bretelles" fleurs.

Par contre, j'ai fait la jupe très très évasée... si bien qu'à la fin, j'ai dû l'étirer et la bloquer :

Voici la robe portée. Elle est entièrement réalisée dans un coton assez fin, avec un crochet n°2. Regardez la Miss saluer la foule avec une élégance décontractée :

J'aime bien le rendu du décolleté du dos.

J'ai ensuite fait une étole, au tricot, cette fois-ci, avec le point turc cher à Cerise Violette. Et ma Barbie s'est amusée comme une petite fille avec sa tenue...

Ma miss Fleur Bleue a décidé que cette étole ferait aussi une très jolie traîne de mariée :

ou bien des ailes façon vampire ou fantôme, pour aller réclamer des bonbons, ce soir, dans les rues du village :

Mais j'ai dit : "Non, pas question ! tu laisses Halloween et les bonbons aux enfants" (sinon, tu ne rentreras plus dans ta belle robe).

Trouve-toi un amoureux et va plutôt te marier avec ta belle robe !

En allant chercher une 2ème pelote verte, pour l'écharpe à grosse torsade, j'ai vu mes cotons fins : un bleu marine, et un bleu dégradé... du coup, j'ai sorti un crochet fin (n°1,5) et j'ai fait un gri-gri... y'avait longtemps !

(encore une fois, les couleurs sont peu réalistes, même après retouche au logiciel)